Elle sort des enfers pour exaucer les souhaits des êtres humains, pour les aider à créer un monde à leur image. Mais plus ils ont de pouvoir, et plus elle se sent au chaud, comme à la maison. C’est le paradoxe de Raphaëlle, le diable qui va guider un homme hors d’un cycle perpétuel de violence et de vengeance.
“Derrière chaque malheur, je vois un visage humain”. L’actualité nous montre jour après jour que nous n’avons rien à craindre des monstres et des dieux. L’espèce humaine entretient sa propre violence, envers elle-même, envers le vivant et envers la Terre que nous transformons progressivement en enfer. Et si c’était maintenant au diable de venir à notre secours ? Comment s’y prendrait-il ?
C’est avec ces questions en tête que j’ai écrit le scénario de Raphaëlle, un court-métrage pour montrer l’inutilité de la violence et de la destruction, et la nécessité d’une autre voie : celle du pardon et de la reconstruction. Raphaëlle est un film autoproduit par Archemia et réalisé en une seule (grosse) journée. Un making-of sera d’ailleurs bientôt disponible pour vous montrer les coulisses du tournage et de la préproduction.
